Resultats par mot-clé : 'satisfaction'


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Cette synthèse méthodique avec une présentation de manière narrative des résultats de six études cliniquement très hétérogènes, suggère qu’en termes de fonctionnement physique et de qualité de vie, les interventions d’ergothérapie basées sur le vieillissement actif et sur des activités significatives sont bénéfiques pour les personnes âgées en bonne santé qui résident en maison de repos et de soins. Cette étude ne nous permet toutefois pas d’évaluer quelles interventions et quels éléments d’intervention sont particulièrement efficaces. Il est donc certainement nécessaire de mener une étude randomisée, contrôlée avec des interventions clairement définies.

Cette étude contrôlée et randomisée, présentant quelques limites méthodologiques, montre que le suivi d’un programme de rééducation suite à une arthroplastie inversée de l’épaule peut être réalisé autant en autonomie à domicile qu’en ambulatoire avec des kinésithérapeutes, si et seulement si nous prenons en considération uniquement les gains de degrés d’amplitude, de force et des résultats rapportés par le patient (PROM). Les limites méthodologiques tant en termes de validité interne que liées à l’extrapolation des résultats fragilisent la possibilité d’une généralisation de cette approche. D’autres études sont nécessaires.

Soins palliatifs en fin de vie : des preuves ?

Chevalier P. , Sturtewagen J.P.

Minerva 2008 Vol 7 numéro 10 pages 148 - 151


Cette synthèse méthodique montre des preuves fortes d’efficacité de différents traitements dans la douleur liée au cancer, dans le traitement de la dyspnée en cas de BPCO avec certains médicaments et avec une réhabilitation pulmonaire, dans la dépression (liée à un cancer) au moyen d’une intervention d’aide psychosociale. Pour l’organisation de soins programmés en fonction de l’évolution, la continuité des soins et la charge de travail avec la satisfaction enregistrée pour les soignants, les preuves d’efficacité des interventions sont au mieux modérées. Pour les praticiens comme pour les patients et leur entourage, un moindre niveau de preuve et une ampleur d’effet plus faible (mais statistiquement significative) de certains traitements ou interventions doivent être pris en considération même si des preuves plus fortes pour des traitements médicamenteux (souvent en fonction de fréquence beaucoup plus importante des études (sponsorisées) avec ces médicaments) existent, l’un n’étant pas opposable à l’autre.